« C’est indécent. C’est honteux. » Paolo Del Debbio a violemment critiqué Elly Schlein en direct à la télévision. Son accusation ? Utiliser le sang innocent d’enfants et la tragédie de la guerre pour attaquer Giorgia Meloni. La dirigeante du Parti démocrate, qui avait commencé par qualifier le gouvernement de « rien », a été réduite au silence. Del Debbio l’a traitée de « dangereuse » et de « sans scrupules » avant de la faire expulser du studio. L’humiliation fut totale, une véritable exécution publique. Découvrez le récit de cette défaite morale et politique. Retrouvez l’article complet dans le premier commentaire. DEL DEBBIO EXPLOSE APRÈS L’INSULTE D’ELLY SCHLEIN ENVERS MELONI ET L’HUMILIE DEVANT TOUS

Elly Schlein répond à Meloni et met fin à sa campagne pour les élections européennes : « Le gouvernement s'attaque aux libertés. »

L’atmosphère dans le studio était tendue, presque irrespirable. Ce n’était pas celle d’un débat, mais celle d’une exécution. Les projecteurs froids et implacables éclairaient une scène qui allait entrer dans l’histoire de la télévision brutale : d’un côté, Elly Schlein, secrétaire du Parti démocrate, animée de son indignation progressiste ; de l’autre, Paolo Del Debbio, un présentateur dont l’épuisement et l’impatience couveraient, prêts à exploser. Ce qui suivit ne fut pas un affrontement, ce fut une annihilation.

C’est Elly Schlein qui alluma la mèche. Avec l’assurance d’une tribune prête à lancer une attaque décisive, elle entama son discours. Sa voix, d’abord calme, se chargea d’une indignation croissante, d’un ressentiment palpable. « J’observe avec une inquiétude grandissante, voire une consternation, le déclin de ce pays », commença-t-elle. Puis, première attaque : « La situation est dramatique. L’Italie se désagrège et le Premier ministre semble vivre dans une bulle. »

Mais c’est sa phrase suivante qui a glacé le sang. Le regard dur, droit dans la caméra, il a déclaré : « Meloni se bat pour survivre et son gouvernement ne vaut, à mon humble avis, absolument rien. »

« Rien. » Une insulte politique fatale. Del Debbio pinça les lèvres. Son indignation grandissait, mais il laissa la secrétaire continuer à creuser sa propre tombe. Et elle ne s’arrêta pas là. Il poursuivit, d’un ton de plus en plus strident, parlant d’un gouvernement « très doué pour dissimuler ses propres échecs », d’un « budget sans aucune condition », d’une « incapacité manifeste à gouverner ». Il accusa les médias d’être « alignés », de faire de la propagande, de raconter des « conneries », des « mensonges colossaux » pour masquer le fait que « nous allons nous effondrer ».

Del Debbio, les bras croisés, arborait désormais un masque de dédain. Schlein, se sentant en position de force, poursuivit : « Meloni ne tolère aucune dissidence, elle s’enferme dans son palais, persuadée que les proclamations suffisent. » Puis, la conclusion méprisante : « Mais la rue ne ment pas, et tôt ou tard, le peuple se lassera d’être la risée d’un gouvernement qui n’est absolument rien. »

Il est temps de voler - YouTube

Des applaudissements fusent d’une partie du public. Mais Del Debbio avait perdu son calme. Il avait craqué.

L’animateur reprit la parole, et sa voix n’était plus celle d’un modérateur, mais celle d’un accusateur. « Madame la Secrétaire », commença-t-il, « vous avez tenu des propos qui dépassent le cadre de la critique politique. Vous avez parlé de rien, et vous l’avez fait avec une rancœur, une amertume palpable pour tous. » Il l’accusa d’employer un langage vulgaire et de manquer elle-même de profondeur et de culture.

Visiblement irrité, Schlein tenta de contre-attaquer, accusant Del Debbio de partialité. « Mais vous êtes partial, animateur ! Vous faites le jeu de ce gouvernement ! Vous êtes un militant politique ! »

Ce fut l’erreur fatale. L’accusation personnelle libéra Del Debbio de toute retenue. Son regard devint d’acier. « Je ne prends pas parti, Monsieur le Secrétaire », tonna-t-il. « Je me range du côté des faits et de la décence. Et la décence, vous et votre parti politique semblez l’avoir oubliée. »

Puis vint la première accusation, terrible. Del Debbio changea de ton, sa voix devenant grave, empreinte d’une rage furieuse. « Monsieur le Secrétaire, il y a une limite au-delà de laquelle le jeu politique prend une tournure bien plus grave. Et vous avez franchi cette limite avec une bassesse sans précédent. » Il évoqua l’enquête sur l’affaire Ranucci, qui vise la criminalité internationale. « Et vous, que faites-vous ? Vous vous précipitez à la télévision pour insinuer que le gouvernement italien est derrière tout cela. C’est méprisable, Monsieur le Secrétaire. Méprisable et irresponsable. »

Schlein, touchée de plein fouet, tenta de riposter, mais Del Debbio était déjà submergée. La vague qui aurait pu l’engloutir arrivait.

« Et pour parler de réalité, Monsieur le Secrétaire », poursuivit-il, la voix s’élevant sous l’effet d’une indignation sincère, « vous avez eu le courage de dire, au sujet de Gaza, que les places étaient  avant tout destinées  à protester contre Giorgia Meloni ! » Il marqua une pause, le visage déformé par le dégoût.

« Vous avez raison sur un point, Madame la Secrétaire. Les manifestations étaient contre Meloni. Et vous savez ce que j’en pense ? Bravo à vous, les gauchistes ! Vous avez instrumentalisé une guerre ! Une terrible tragédie ! Le sang d’enfants innocents ! Pour vous opposer au Premier ministre ! Pour une mesquine querelle politique interne ! »

L’accusation était glaçante. Le public était sans voix. Schlein, qui hurlait quelques instants auparavant, se figea.

« Voilà qui vous êtes ! Voilà vos valeurs ! » s’écria Del Debbio. « Mais je n’aime pas faire de la politique comme ça ! Je n’aime pas jouer sur la corde sensible des gens, sur leur douleur, sur leur tragédie ! Ce n’est pas de la politique, Monsieur le Secrétaire ! C’EST INDÉCENT ! C’EST HONTEUX ! C’EST DU PROFIT ! »

Le visage d’Elly Schlein se figea. Il devint d’un blanc cireux. Sa bouche, légèrement ouverte, était muette. Ses yeux, grands ouverts, fixaient le vide, emplis non de colère, mais d’une horreur absolue. Elle avait été frappée non seulement politiquement, mais aussi moralement. Elle avait été mise à nu, humiliée, anéantie.

Del Debbio, debout, dominait la scène tel un juge prononçant sa sentence. « Vous êtes venus ici pour parler d’un “gouvernement inexistant”, poursuivit-il d’un calme glacial, “mais la vôtre n’est qu’une politique de blabla, de slogans, de vide mélangé à vide. Et quand vous n’avez plus d’arguments, vous recourez aux pires bassesses !” »

Il fit un pas en avant. « Madame la Secrétaire, vous vous êtes dévoilée. Vous avez montré votre vrai visage à tous. Une dirigeante sans scrupules, dénuée de dignité, capable de salir la vie d’autrui pour un maigre rayon de lumière. Et vous n’êtes pas seulement irresponsable. Vous êtes dangereuse. Dangereuse pour la démocratie, pour le pays que vous empoisonnez de vos mensonges et de vos insinuations criminelles. »

Il la regarda, et son regard ne trahissait plus aucune colère, seulement du mépris. « Dans ce bureau, il n’y a pas de place pour ceux qui exploitent la tragédie. Il n’y a pas de place pour ceux qui instrumentalisent la vulgarité et la bassesse à des fins politiques. Et ici, dans mon bureau, je ne tolérerai pas cela. »

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Il désigna la porte du doigt. Sa voix monta d’un ton assourdissant, un verdict sans appel. « Madame la Secrétaire Schlein ! Vous avez franchi toutes les limites ! Absolument toutes les putains de limites de la décence et de la civilité ! Alors, s’il vous plaît, levez-vous et quittez ce bureau immédiatement ! MAINTENANT ! Je n’ai plus rien à vous dire ! Allez faire vos pitreries et vos accusations sans fondement ailleurs ! La décence a encore sa place ici ! »

Elly Schlein était anéantie. Elle tremblait visiblement, les épaules affaissées. À cet instant, le public, jusque-là sous le choc, laissa éclater une ovation assourdissante et libératrice pour Paolo Del Debbio. Des applaudissements tonitruants, des cris d’approbation.

Accablée par une honte insoutenable, la secrétaire du Parti démocrate se leva d’un bond. Son geste était dénué de toute dignité, empreint du désespoir de celle qui tente d’échapper à un cauchemar. La tête baissée, d’un pas rapide et incertain, elle s’enfuit vers les coulisses, une ombre engloutie par l’obscurité, tandis que l’écho de sa défaite totale résonnait dans le studio.

Del Debbio, avec la fierté de celui qui a rétabli l’ordre, s’adressa une dernière fois à la caméra, délivrant son ultime leçon : « La politique est une affaire sérieuse. Quiconque ne le comprend pas, qui prend une arène pour une cour de récréation, n’a pas sa place ici. » Le match était terminé. Et ce fut une leçon inoubliable.

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