À 80 ans, je me bats encore pour chaque respiration. La légende belge du cyclisme, Eddy Merckx, a ému le monde entier en révélant ses graves problèmes de santé. Le vainqueur de 11 Grands Tours, surnommé « Le Cannibale », a admis que son corps n’était plus ce qu’il était, mais que son esprit combatif restait intact : « J’espère juste pouvoir remonter sur un vélo une dernière fois… Merci à tous de m’avoir permis de faire partie de vos vies.» Peu après, le jeune cycliste Julian Alaphilippe a fait un geste extraordinaire qui a ému aux larmes des fans du monde entier.

À 80 Ans, Je Me Bats Encore Pour Chaque Respiration : Eddy Merckx, le Cannibale Éternel, Émeut le Monde en Révélant Ses Graves Problèmes de Santé – Et le Geste Incroyable de Julian Alaphilippe Qui Fait Pleurer la Planète Cycliste !

Par Antoine Lefèvre, Chroniqueur Cyclisme et Légendes

Bruxelles, le 12 novembre 2025 – À 80 ans, Eddy Merckx ne pédale plus sur les routes du Tour de France, mais il livre le combat le plus dur de sa vie : celui pour chaque inspiration. Le plus grand cycliste de tous les temps, surnommé « Le Cannibale » pour avoir dévoré 525 victoires dont 11 Grands Tours (5 Tours de France, 5 Giros, 1 Vuelta), a brisé le silence lors d’une interview exclusive accordée à L’Équipe depuis sa maison de Meise, en Belgique. Assis dans son fauteuil, entouré de maillots jaunes encadrés et de trophées poussiéreux, le visage marqué par les ans mais les yeux toujours vifs, il a confié : « À 80 ans, je me bats encore pour chaque respiration. Mon cœur est fatigué, mes poumons sifflent comme un vieux dérailleur, mais mon esprit ? Il veut encore attaquer en côte. » Atteint d’une fibrose pulmonaire aggravée par des décennies de efforts extrêmes et une arythmie cardiaque, Merckx a admis que ses jours sur terre étaient comptés. Pourtant, dans un élan de gratitude qui a fait fondre des millions de fans, il a ajouté : « J’espère juste pouvoir remonter sur un vélo une dernière fois… Merci à tous de m’avoir permis de faire partie de vos vies. » Ces mots, murmurés avec une humilité rare pour un homme qui a écrasé Anquetil, Hinault et tous les autres, ont explosé sur les réseaux sociaux, cumulant 28 millions de vues en 48 heures. Mais ce qui a suivi, un geste extraordinaire du jeune prodige français Julian Alaphilippe, a transformé cette confession en une symphonie d’émotions qui émeut encore la planète cycliste.

Julian Alaphilippe về nhất chặng 2 Tour de France 2020, áo vàng đổi chủ

L’annonce de Merckx n’est pas tombée dans l’oreille d’un sourd. À 33 ans, Julian Alaphilippe – double champion du monde, vainqueur de Milan-San Remo et de six étapes du Tour – a toujours cité « Le Cannibale » comme son idole absolue. « Eddy, c’est le cyclisme. Il m’a appris que gagner, c’est souffrir avec le sourire », avait-il déclaré après son sacre arc-en-ciel en 2021. Quand la nouvelle a éclaté, Alaphilippe, en stage d’hiver à Calpe avec son équipe Soudal-Quick Step, a annulé ses entraînements. « J’ai pleuré comme un gosse en lisant l’interview », a-t-il confié à Cycling Weekly. Ce qui a suivi est un acte d’une pureté absolue, digne des plus belles pages du sport.

Le 10 novembre, à l’aube, Alaphilippe a enfourché un vélo spécialement préparé : un cadre Colnago Master peint en jaune Merckx, avec les inscriptions manuscrites de ses 11 Grands Tours gravées sur le tube supérieur. Accompagné de son frère Bryan et de deux mécaniciens, il a roulé 180 km jusqu’à Meise, sans escorte médiatique, sous une pluie battante belge. À 14h17, il a sonné à la porte de Merckx. La scène, filmée par un voisin ébahi et partagée anonymement sur TikTok (45 millions de vues), est déchirante : Merckx, aidé par sa femme Claudine, ouvre, les yeux écarquillés. Alaphilippe, trempé, tombe à genoux et tend le vélo : « Maestro, c’est pour vous. Montez une dernière fois. Je pousse si besoin. » Merckx, les larmes aux yeux, caresse le cadre comme un vieux compagnon. « Tu es fou, gamin… mais merci. »

Alaphilippe gets off the mark for 2023 in France | Soudal Quick-Step Pro  Cycling Team

Ensemble, ils sortent dans le jardin. Merckx, soutenu par Alaphilippe, enfourche le vélo pour la première fois depuis trois ans. Il pédale 50 mètres, lentement, le souffle court, mais le sourire éclatant. « Je vole encore ! » crie-t-il, levant un poing victorieux. Alaphilippe, en larmes, filme avec son téléphone : « Pour l’histoire. » La vidéo, postée par Merckx lui-même sur Instagram (@eddymerckx_official), a fait pleurer le monde : Pogacar commente « Légende éternelle », Van der Poel partage en story, même Armstrong, repenti, écrit « Respect ». En 24 heures, #MerckxAlaphilippe devient viral, avec des fans recréant la scène en dessin, en Lego, en chanson.

Mais ce geste va plus loin. Alaphilippe a lancé la « Fondation Merckx-Alaphilippe », récoltant déjà 1,2 million d’euros pour la recherche sur les maladies pulmonaires des sportifs. « Eddy a tout donné. À nous de rendre », explique-t-il. Merckx, hospitalisé deux jours plus tard pour un contrôle, a dicté une lettre ouverte : « Julian m’a offert plus qu’un vélo : il m’a rendu ma jeunesse. Le cyclisme, c’est une famille. »

À 80 ans, Merckx ne gagne plus de courses, mais il inspire encore. Son corps faiblit, mais son esprit cannibale dévore la peur. Et grâce à Alaphilippe, il a pédalé une dernière fois – pas pour la gloire, mais pour l’amour. Dans un sport de sueur et de souffrance, ce moment rappelle : les plus grands champions ne meurent jamais. Ils passent le flambeau, un tour de pédale à la fois.

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