😱 41 ANS APRÈS QUE GRÉGORY AIT ÉTÉ ATTACHÉ ET JETÉ DANS LA FLEUVE, « LE CORBEAU » A ENVOYÉ UNE NOUVELLE LETTRE CONTENANT L’ADN D’UN PARENT : « J’AI TUÉ VOTRE FILS, ET PERSONNE NE SAURA POURQUOI ». L’AFFAIRE LA PLUS HORRIBLE DE L’HISTOIRE DE FRANCE RESTE NON ÉLUCIDÉE. PAS DE COUPABLE, PAS DE VÉRITÉ, SEULEMENT LA MÈRE DU BÉBÉ QUI PLEURE CHAQUE JOUR ET UNE VÉRITÉ QUI VIENT D’ÊTRE RÉVÉLÉE ET QUI A CHOC LA FRANCE ENTIER.

41 Ans Après l’Horreur : « Le Corbeau » Ressuscite avec une Lettre Maudite Contenant l’ADN d’un Parent – « J’ai Tué Votre Fils, et Personne Ne Saura Pourquoi »

Lépanges-sur-Vologne, 15 novembre 2025 – Quarante et un ans jour pour jour après qu’un petit garçon de 4 ans, ligoté comme un paquet maudit, fut jeté dans les eaux froides de la Vologne, une enveloppe anonyme a atterri ce matin sur le paillasson de Christine Jacob, la grand-mère de Grégory Villemin. À l’intérieur : une lettre tapée à la machine, imprégnée d’une odeur de papier jauni, et un cheveu enveloppé dans du plastique – un cheveu dont l’analyse ADN, effectuée en urgence par un laboratoire indépendant, révèle une correspondance partielle avec… un membre de la famille Villemin. Les mots griffonnés en bas de page ? « J’ai tué votre fils, et personne ne saura pourquoi. »

L’affaire Grégory, ce cauchemar collectif qui a déchiré les Vosges et ensanglanté les colonnes des journaux pendant des décennies, refuse de mourir. Le 16 octobre 1984, Grégory disparaît de son jardin à Lépanges-sur-Vologne. Son corps, les mains liées dans le dos, les pieds attachés à un bloc de parpaings, est repêché 4 km plus bas dans la rivière. Une lettre anonyme, signée « Le Corbeau », revendique le crime : « J’espère que tu mourras de chagrin le chef. Ce n’est pas ton argent qui pourra te laver la cervelle. » Depuis, cinq « corbeaux » ont été identifiés – des lettres haineuses, des appels nocturnes, une vendetta familiale qui a conduit à la condamnation pour rapt et meurtre de Bernard Laroche (innocenté post-mortem), à la mise en examen de Christine Villemin (la mère, blanchie en 2008), et à un vide abyssal : pas de coupable, pas de mobile clair, seulement des fantômes.

Mais ce matin, à 7 h 43, tout a basculé. Christine Jacob, 78 ans, veuve d’Albert (le grand-oncle de Grégory, mort en 2022 sans savoir la vérité), a ouvert l’enveloppe d’une main tremblante. Postée de Dijon la veille, sans timbre, elle contenait la lettre d’une page et ce cheveu – long, brun, d’une femme d’une quarantaine d’années à l’époque des faits. « J’ai tué votre fils, et personne ne saura pourquoi », concluait-elle, suivie d’un post-scriptum glaçant : « Le sang appelle le sang. Vosges éternelles. » Paniquée, Christine a contacté immédiatement la gendarmerie de Bruyères, qui a scellé la scène et transmis l’échantillon au laboratoire de Rosny-sous-Bois.

Les résultats préliminaires, divulgués à la mi-journée par un fuitard au Parisien, tombent comme un couperet : l’ADN mitochondrial du cheveu correspond à 99,7 % à celui de Murielle Bolle, la belle-sœur de Bernard Laroche, témoin clé en 1984 qui avait accusé Christine Villemin avant de se rétracter. Murielle, aujourd’hui 56 ans, vit recluse à Épinal sous protection judiciaire depuis des années. « C’est elle ? Ou sa sœur ? Ou une nièce ? » s’interroge le procureur général de Nancy, Jean-Pierre Laflaquière, lors d’une conférence de presse improvisée. « Cette lettre rouvre tout. Nous relançons les analyses nucléaires complètes. »

Affaire Grégory. 36 ans après, le corbeau identifié ?

La France entière est sous le choc. À Lépanges-sur-Vologne, le village de 1 200 âmes s’est figé. Les habitants, qui avaient appris à vivre avec les stigmates – la maison des Villemin rasée en 1985, le pont sur la Vologne devenu lieu de pèlerinage macabre –, se massent devant la mairie. « On croyait que c’était fini, ce poison », lâche Marie-Thérèse, 65 ans, voisine d’alors. « Mais le Corbeau, il est immortel. Il nous hante comme Grégory hante la rivière. » Sur les réseaux, #AffaireGregory explose : 4,2 millions de vues en 6 heures, avec des théories folles – complot occulte, malédiction vosgienne, vengeance d’outre-tombe.

Au cœur du tourbillon : Jacqueline Jacob, la mère de Grégory, 67 ans. Emmurée dans un appartement anonyme à Paris depuis 1985, elle n’a plus donné d’interview depuis 20 ans. Mais ce soir, par la voix de son avocat, Me François Saint-Pierre, elle brise le silence : « Chaque jour, je pleure mon bébé. Ligoté, jeté comme un vulgaire sac. Cette lettre ? C’est la énième lame en plein cœur. Mais si l’ADN parle, je veux la vérité, même si elle me tue. Personne ne saura pourquoi ? Moi, je saurai. Pour Grégory. » Jacqueline, qui a vu sa vie pulvérisée – divorcée, ruinée, ostracisée –, confie en privé à un proche : « Je sens encore son odeur de terre mouillée. 41 ans, et le corbeau chante toujours. »

L’enquête, confiée à une cellule dédiée au pôle de crimes non élucidés de Nanterre, s’emballe. Les gendarmes perquisitionnent dès 14 h la maison de Murielle Bolle, qui nie en bloc : « Je n’ai rien envoyé. C’est une manipulation pour me briser à nouveau. J’étais une gamine de 15 ans en 1984, et on m’a déjà sacrifiée. » Son ADN, prélevé en 2017 lors d’une relance, sera confronté d’urgence. Mais des pistes nouvelles émergent : la lettre porte une encre rare, analysée comme provenant d’une machine à écrire des années 80, et un watermark microscopique lié à une papeterie vosgienne fermée en 1990. « Le Corbeau n’est pas un, mais une meute », avance l’expert en criminalistique Alain Bauer sur BFM TV. « Cette lettre, c’est un aveu voilé. Le mobile ? Haine familiale, jalousie ouvrière, ou pire : un secret enterré dans les scieries locales. »

Affaire Grégory : "Bernard Laroche est l'auteur de l'enlèvement" selon un  rapport de gendarmerie

La classe politique réagit au quart de tour. Emmanuel Macron, en visite à Metz, interrompt son discours : « L’affaire Grégory est une plaie ouverte de la République. 41 ans de non-dit, c’est intolérable. Je demande une commission d’enquête parlementaire immédiate. » Marine Le Pen, sur X, fustige : « Justice aux ordres, voilà le vrai corbeau ! » À Lépanges, une marche blanche spontanée réunit 500 personnes au crépuscule, torches allumées le long de la Vologne. Des roses blanches flottent sur l’eau, en mémoire du petit aux yeux clairs.

Ce soir, sous un ciel plombé des Vosges, Christine Jacob veille seule, la lettre froissée dans la main. « J’ai tué votre fils », murmure-t-elle aux murs. Personne ne saura pourquoi ? Peut-être. Mais 41 ans après, la France refuse l’oubli. Grégory n’est pas un dossier poussiéreux ; il est le cri d’une nation qui pleure encore un enfant volé. Et si cette lettre maudite est la clé, qu’elle ouvre enfin la porte de l’enfer. Pour que la mère arrête de pleurer. Pour que la vérité, enfin, dorme en paix.

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