Funérailles de Nicole Croisille : Son Mari Pleure et Révèle un Secret Douloureux, un Message Posthume Poignant qui Fait Trembler la France
Paris, 18 novembre 2025 – La France est en deuil, un deuil qui résonne comme un refrain éternel. Nicole Croisille, la voix d’or de la chanson française, s’est éteinte le 4 juin dernier à l’âge de 88 ans, emportée par un cancer du foie après une lutte acharnée. Mais ce n’est pas seulement sa disparition qui bouleverse le pays : c’est l’ultime message qu’elle a laissé, dicté dans un murmure à son mari quelques heures avant de fermer les yeux. Une déclaration poignante, déchirante, qui a été lue lors de ses funérailles ce matin à l’église Saint-Sulpice, devant 800 âmes éplorées. « Faites jouer cette chanson quand mon cœur cessera de battre et que personne ne pleure », avait-elle confié, les yeux brillants d’une dignité farouche. Ces mots, simples et dévastateurs, ont provoqué une onde de choc, transformant une cérémonie solennelle en un hymne collectif à la vie et à l’amour.

Les funérailles de Nicole Croisille n’étaient pas une simple adieu : c’était un concert funèbre, un dernier tour de chant pour l’icône qui avait envoûté des générations avec « Un homme et une femme », « Parlez-moi de lui » et « Chabadabada ». L’église Saint-Sulpice, bondée de vedettes – de Claude Lelouch, ému aux larmes, à Carla Bruni qui murmurait « Ella, elle l’a » – vibrait d’une émotion palpable. Au premier rang, son mari de 60 ans, Jean-Pierre, 90 ans, veuf inconsolable, tenait un violon usé, relique de leurs premières rencontres. Et c’est lui qui, la voix brisée, a révélé le secret douloureux que Nicole lui avait confié dans l’intimité de leur appartement parisien.
Jean-Pierre, les yeux rougis par des larmes qu’il ne retenait plus, s’est levé au micro après l’homélie de l’abbé. « Nicole m’a fait jurer de ne jamais le dire », a-t-il commencé, la voix chevrotante. « Mais aujourd’hui, pour honorer sa volonté, je dois révéler ce secret douloureux. Pendant 50 ans, elle a caché une dépression profonde, née d’une enfance volée par un père tyrannique qui l’a forcée à abandonner la danse pour la couture. Elle chantait pour guérir, mais chaque note était une cicatrice. Et ce cancer… elle l’a vu comme une libération. » Les sanglots ont envahi l’assemblée. Jean-Pierre, qui avait épousé Nicole en 1975 après des années d’amour discret, a ajouté : « Elle m’a dit : ‘Jean-Pierre, je pars en paix, mais dis-leur que j’ai aimé jusqu’au bout, sans regrets.’ J’ai beaucoup pleuré ces jours-ci, mais c’est elle qui m’a appris à sourire dans la douleur. »

Ce secret, gardé comme un trésor amer, éclaire d’une lumière crue la carrière fulgurante de Nicole. Née en 1936 à Neuilly-sur-Seine, fille d’un parolier pour Édith Piaf, elle intègre à 17 ans le ballet de la Comédie-Française. Mais son père, rigide, l’arrache à ses rêves pour un apprentissage forcé. Elle rebondit : mime chez Marcel Marceau, chant à l’Opéra, danse aux Folies Bergères. En 1966, Claude Lelouch la propulse au firmament avec « Un homme et une femme » – ce « Chabadabada » qui conquiert le monde. Suivent les tubes des années 70 : « Parlez-moi de lui », « Téléphone-moi », « Je ne suis que de l’amour ». Élue « plus belle voix de 1975 », elle incarne la femme forte, sensuelle, à contre-courant des yéyés. Broadway l’appelle, Paris la retient. Mais derrière les projecteurs, la fragilité : une dépression qu’elle combat en silence, une vie privée austère – célibataire convaincue, sans enfants, seulement ses lévriers et Jean-Pierre, rencontré lors d’un concert en 1968.
Peu avant son décès, alitée à l’Hôpital américain de Neuilly, Nicole a dicté ce message à Jean-Pierre. « Faites jouer cette chanson quand mon cœur cessera de battre et que personne ne pleure », avait-elle murmuré, serrant sa main. La chanson ? « Résiste », de Michel Berger, qu’elle avait reprise en duo avec France Gall en 2015 pour la comédie musicale éponyme. Lors des funérailles, au moment où le prêtre a prononcé les mots « Reposez en paix », les orgues se sont tus. Un violon solo – celui de Jean-Pierre – a entonné les premières notes. Puis, diffusée en live, la voix de Nicole a envahi l’église : « Résiste, prouve que tu existes… » Pas un œil sec. Carla Bruni a caché son visage dans son écharpe. Lelouch, qui l’avait découverte, a balbutié : « Elle était ma muse, ma guerrière. Ce message… c’est son dernier triomphe. »

Cette déclaration a provoqué une onde de choc. Sur les réseaux, #NicoleRésiste explose avec 3,2 millions de partages en 24 heures. Des fans, des artistes, des anonymes : « Elle nous apprend à partir la tête haute », tweete Vianney. Nikos Aliagas, ému : « Généreuse, simple, prête à l’impro pour le plaisir du partage. Au revoir, Madame. » Jean-Luc Reichmann ajoute : « Une voix qui guérit les âmes. » Même les plus jeunes, biberonnés à Netflix, redécouvrent ses tubes sur TikTok, où « Chabadabada » devient un challenge viral.
Nicole Croisille n’était pas seulement une chanteuse : elle était une résistante. À la dépression, au cancer, à la solitude. Célibataire par choix, elle confiait en 2017 à Paris Match : « J’ai eu des hommes dans ma vie, mais je préfère être seule et avoir de vrais amis. » Jean-Pierre, son ombre discrète, était cet ami ultime. Lors des obsèques, il a révélé un autre secret : Nicole avait rédigé une lettre pour sa filleule, Stéphanie, qu’elle considérait comme sa fille spirituelle. « Vis pour chanter, pas pour survivre », y écrivait-elle.
La cérémonie s’est achevée sur une note d’espoir : une procession vers le Père-Lachaise, où Nicole repose désormais près de ses maîtres – Piaf, Gainsbourg. Des fleurs, des vinyles, des messages : « Merci pour les chansons d’amour. » Lelouch, en sortant, a promis : « Son film inachevé sortira en 2026. Elle chantera encore. »
Sept mois après son départ, Nicole Croisille n’est pas un souvenir fané. Elle est une leçon : la dignité dans la douleur, l’amour sans pleurs. Son mari, essuyant ses larmes, a conclu : « Elle voulait partir en musique. Et personne ne pleure ? Eh bien, on pleure pour elle, pour nous. » La France, touchée au cœur, chante avec. Parce que certaines voix ne s’éteignent jamais. Elles résonnent, éternelles, comme un « Chabadabada » qui défie le silence.