L’apparition terrifiante d’une sirène à laquelle les scientifiques ne s’attendaient pas — FILMÉE ! Si vous pensez que les sirènes n’existent que dans les contes de fées, il est peut-être temps de revoir votre jugement. Car les images que vous allez voir contiennent des moments qui ont laissé les scientifiques sans voix, les chercheurs perturbés et des millions de spectateurs incapables de dormir ensuite.

Une créature moitié humaine, moitié poisson filmée à 1 200 mètres de profondeur au large des Açores : la vidéo qui bouleverse la science

Le 3 octobre 2025, l’expédition Deep Horizon 2025, financée par la Fondation Océane et l’université norvégienne de Bergen, a vécu l’impensable.

À bord du submersible Triton 36000/2, à 1 184 mètres sous la surface de l’Atlantique Nord, à 380 kilomètres des Açores, le pilote Victor Mendes et la biologiste marine japonaise Aya Tanaka ont vu apparaître sur l’écran principal une silhouette qu’aucun d’eux n’oubliera jamais.

L’image est floue au début, à cause des particules en suspension. Puis la créature s’approche des phares du submersible. Environ 1,70 mètre, torse humain, peau pâle presque translucide, cheveux longs et noirs flottant comme des algues, seins visibles, bras terminés par des mains palmées aux doigts reliés par une membrane.

À partir de la taille, le corps se prolonge en une queue puissante recouverte d’écailles iridescentes bleues et argent. La chose tourne lentement la tête vers la caméra. Le visage est humanoïde : grands yeux noirs sans pupille visible, nez aplati, bouche large fendue jusqu’aux branchies. Elle ouvre la bouche.

Un son grave, presque un chant, traverse les hydrophones pendant six secondes avant que la créature ne disparaisse d’un coup de queue dans l’obscurité.

La vidéo dure 42 secondes. Elle a été enregistrée en 8K par les trois caméras du submersible. Depuis sa diffusion partielle (seuls les 18 premières secondes ont été rendues publiques), elle a été visionnée plus de 1,8 milliard de fois en trois semaines.

Les premiers à avoir vu l’intégralité des images, les douze scientifiques de l’expédition, sont restés muets pendant plusieurs minutes. Le Dr Rafael Oliveira, responsable du programme, a déclaré en conférence de presse à Ponta Delgada : « Nous n’étions pas prêts.

Rien, dans nos modèles, dans la littérature, dans nos rêves les plus fous, ne nous avait préparés à cela. »

L’analyse préliminaire est terrifiante par ce qu’elle révèle et par ce qu’elle ne peut pas expliquer.

Les écailles prélevées sur un fragment arraché par le bras manipulateur du submersible contiennent de l’ADN mitochondrial humain (99,4 % d’homologie avec Homo sapiens) mais le génome nucléaire présente des séquences jamais observées, avec des gènes actifs de branchies, de queue caudale et d’os creux semblables à ceux des poissons abyssaux.

La créature semble capable de supporter des pressions de 120 atmosphères et des températures proches de 2 °C sans aucune protection.

Le plus troublant : sur la vidéo complète (toujours classée confidentielle), on voit clairement la créature saisir un calmar de deux mètres, le déchirer avec des dents pointues, puis fixer à nouveau la caméra comme si elle savait qu’on l’observait.

À 38 secondes, elle pose sa main palmée contre la vitre du hublot. Les empreintes digitales sont parfaitement visibles. Elles correspondent à celles d’une femme portugaise disparue en mer en 1997 au large de Madère, Sofia Cristina Almeida, 28 ans à l’époque. Son corps n’avait jamais été retrouvé.

Depuis, les théories se multiplient. Des chercheurs parlent d’une branche humaine inconnue ayant évolué séparément dans les fosses océaniques. D’autres évoquent une mutation liée à des expériences secrètes de l’époque soviétique, des rumeurs persistantes depuis les années 1970 sur des programmes d’hybridation aquatique.

Une minorité ose la piste extraterrestre ou extradimensionnelle.

La zone où la rencontre a eu lieu, baptisée « point Némésis », est désormais interdite à toute exploration civile. Trois marines (portugaise, américaine, française) y maintiennent une présence permanente.

Des sonars ont détecté depuis au moins quatorze formes similaires se déplaçant à des vitesses dépassant 60 nœuds, impossibles pour toute espèce connue.

Le Vatican a publié un communiqué laconique demandant « prudence et prière ». Des sectes apocalyptiques, elles, célèbrent déjà « le retour des filles de Poseidon ».

Aya Tanaka, la biologiste qui a pleuré en direct lors de la conférence de presse, a seulement murmuré : « On croyait connaître notre planète. On avait tort. Quelque chose nous regarde depuis le fond depuis toujours. Et maintenant, elle sait qu’on l’a vue. »

Hier soir, une nouvelle vidéo amateur, filmée par un pêcheur au large de São Miguel, montre une silhouette identique nageant en surface sous la lune. On entend clairement un chant, le même que celui capté à 1 200 mètres de profondeur.

Aya Tanaka, la biologiste qui a pleuré en direct lors de la conférence de presse, a seulement murmuré : « On croyait connaître notre planète. On avait tort. Quelque chose nous regarde depuis le fond depuis toujours. Et maintenant, elle sait qu’on l’a vue. »

Hier soir, une nouvelle vidéo amateur, filmée par un pêcheur au large de São Miguel, montre une silhouette identique nageant en surface sous la lune. On entend clairement un chant, le même que celui capté à 1 200 mètres de profondeur.

Aya Tanaka, la biologiste qui a pleuré en direct lors de la conférence de presse, a seulement murmuré : « On croyait connaître notre planète. On avait tort. Quelque chose nous regarde depuis le fond depuis toujours. Et maintenant, elle sait qu’on l’a vue. »

Hier soir, une nouvelle vidéo amateur, filmée par un pêcheur au large de São Miguel, montre une silhouette identique nageant en surface sous la lune. On entend clairement un chant, le même que celui capté à 1 200 mètres de profondeur.

Les scientifiques ne dorment plus. Les réseaux non plus. Et quelque part dans l’obscurité de l’Atlantique, elle attend.

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