🚨 TANGUY FAIT TREMBLER L’ASSEMBLÉE ! “Ursula, rends l’argent !” Ce mercredi, Jean-Philippe Tanguy a lâchĂ© une bombe en plein hĂ©micycle, dĂ©nonçant un “mensonge d’État” sur le budget 2025. Face Ă  une ministre qu’il qualifie de “comĂ©dienne”, le dĂ©putĂ© RN a brisĂ© tous les tabous : immigration, fraude fiscale des multinationales et milliards versĂ©s Ă  l’UE. Une intervention explosive qui a laissĂ© l’AssemblĂ©e sous le choc et rĂ©vĂ©lĂ© les dessous d’un budget que personne ne veut voter. Regardez le clash qui secoue la classe politique ! 👇

« Silence gêné à l’Assemblée » : Tanguy frappe fort sur le budget et les privilèges !

L’atmosphère était électrique ce mercredi 26 novembre 2025 au Palais Bourbon. Alors que les débats sur le budget s’enlisent, une intervention a particulièrement marqué les esprits par sa virulence et sa clarté.

Jean-Philippe Tanguy, figure montante et “Monsieur Budget” du Rassemblement National, a pris la parole non pas pour négocier, mais pour dynamiter ce qu’il considère comme une mascarade politique.

Dans un discours offensif, il a accusé le gouvernement de jouer la comédie, de protéger les privilèges d’une oligarchie et de sacrifier les intérêts des Français sur l’autel de l’Union européenne et du clientélisme local.

Le Théâtre de l’Assemblée

Dès ses premiers mots, le ton est donné. S’adressant à la ministre présente au banc (vraisemblablement Olivia Grégoire ou une ministre déléguée aux comptes publics, le contexte vidéo suggérant un échange vif avec l’exécutif), Tanguy ironise : “Madame la ministre, vous avez le premier rôle, vous êtes une excellente comédienne.”

Cette attaque ad hominem n’était que l’introduction d’une critique plus systémique. Pour le député de la Somme, les discussions actuelles à l’Assemblée ne sont qu’une “diversion”. Il accuse l’exécutif de savoir pertinemment que ce budget ne sera jamais voté à la régulière, mais imposé par 49.3 ou par ordonnances.

“J’aimerais savoir si on est baladé,” lance-t-il, dénonçant un calendrier parlementaire erratique qui ressemble davantage à un “congrès du Parti Socialiste” qu’à un travail législatif sérieux.

La ministre a tenté de répondre, invoquant le sérieux, la méthode et le respect de la Constitution, mais ses arguments ont semblé glisser sur l’armure du député RN, déterminé à exposer ce qu’il appelle les “tabous” de ce quinquennat finissant.

Les Quatre “Tabous” du Budget

Jean-Philippe Tanguy a structuré sa charge autour de quatre axes majeurs, qu’il identifie comme les vaches sacrées du gouvernement, intouchables malgré la crise des finances publiques :

L’Immigration : “Le tabou des tabous”, selon lui. Il fustige le refus de réaliser 150 millions d’euros d’économies sur ce poste, dénonçant une alliance de circonstance entre la gauche et une droite (LR) qu’il qualifie de “Cocus” et de “soumis”.

L’Énergie : Il pointe du doigt les 10 milliards d’euros de subventions aux “énergies intermittentes”, une manne financière qu’il juge injustifiée et coûteuse pour le contribuable.

L’Union Européenne : C’est là que la formule choc a fusé. Reprenant une rhétorique souverainiste forte, Tanguy a lancé : “Il n’y a plus d’argent en France, sauf pour Madame von der Leyen… Ursula, rends l’argent !”.

Une phrase destinée à devenir virale, résumant le sentiment d’une partie de l’électorat qui se sent spoliée par les contributions à Bruxelles.

Le “Millefeuille” Territorial : Il n’a pas hésité à s’attaquer aux élus locaux et à la bureaucratie, qualifiant les financements complexes des collectivités de “clientélisme” servant à “recaser les amis du pouvoir”.

La Fraude Fiscale : L’Hypocrisie Dénoncée

Mais l’attaque la plus technique et peut-être la plus politique a porté sur la fiscalité. Tanguy a accusé le gouvernement et la “presse oligarchique” de mentir sur le programme du RN. “Nous n’avons jamais voulu augmenter les taxes, nous voulons la justice fiscale,” a-t-il martelé.

Il reproche à la majorité d’avoir rejeté des amendements visant à taxer les superprofits des multinationales (qu’il accuse de fraude ou d’optimisation abusive), préférant faire peser la charge fiscale sur les TPE, PME et les ménages français.

Pour lui, ce refus est la preuve ultime que le gouvernement sert “l’oligarchie qui l’a fait élire”.

Un Appel à la Dissolution

La conclusion de son intervention a sonné comme un slogan de campagne. Pour Jean-Philippe Tanguy, ce budget est mort-né, et la légitimité du pouvoir en place avec lui.

“Il est temps de partir,” a-t-il conclu sous les clameurs de son camp, appelant ouvertement à une nouvelle dissolution et à l’arrivée au pouvoir de Marine Le Pen et Jordan Bardella.

Ce moment de tension extrême à l’Assemblée nationale révèle l’impasse politique actuelle.

Au-delà des invectives, c’est deux visions de la France qui s’affrontent : celle d’un compromis technique et institutionnel prôné par le gouvernement, et celle d’une rupture radicale portée par un Rassemblement National qui se sent plus que jamais aux portes du pouvoir.

Une chose est sûre : le débat budgétaire de 2025 restera dans les annales comme l’un des plus violents de la Ve République.

Mais l’attaque la plus technique et peut-être la plus politique a porté sur la fiscalité. Tanguy a accusé le gouvernement et la “presse oligarchique” de mentir sur le programme du RN. “Nous n’avons jamais voulu augmenter les taxes, nous voulons la justice fiscale,” a-t-il martelé.

Il reproche à la majorité d’avoir rejeté des amendements visant à taxer les superprofits des multinationales (qu’il accuse de fraude ou d’optimisation abusive), préférant faire peser la charge fiscale sur les TPE, PME et les ménages français.

Pour lui, ce refus est la preuve ultime que le gouvernement sert “l’oligarchie qui l’a fait élire”.

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