Accident de voiture de Diogo Jota : les enquêteurs ont découvert 17 marques de brûlure sous sa ceinture de sécurité, toutes en forme de croissant, et Rute Cardoso pense qu’elles correspondent à une cicatrice d’enfance sur son dos.

Accident de Voiture de Diogo Jota : 17 Marques de Brûlure en Forme de Croissant sous la Ceinture de Sécurité – Rute Cardoso Y Voit une Correspondance avec une Cicatrice d’Enfance

Liverpool, 18 novembre 2025 – Le deuil du monde du football se teinte d’un voile encore plus sombre. Près de trois mois après l’accident mortel qui a emporté Diogo Jota, 28 ans, et son frère André Silva, 26 ans, sur l’autoroute A-52 près de Zamora en Espagne, les enquêteurs de la Guardia Civil ont révélé une découverte glaçante. Lors d’une autopsie complémentaire ordonnée par la famille, 17 marques de brûlure ont été identifiées sous la ceinture de sécurité de Jota, toutes en forme de croissant, comme si un objet chauffé au rouge avait été pressé contre sa peau. Rute Cardoso, la veuve du joueur, convaincue que ces marques correspondent à une cicatrice d’enfance sur le dos de son mari, a exigé une expertise urgente. « Ce n’est pas un accident. C’est une signature. Quelqu’un a voulu nous marquer pour toujours », a-t-elle déclaré, la voix tremblante, lors d’une conférence de presse à Anfield ce matin.

L’accident, survenu dans la nuit du 3 juillet 2025, semblait au départ un drame banal et tragique. Diogo Jota, fraîchement marié à Rute Cardoso le 22 juin et père de trois enfants (Martim, 8 ans ; Dinis, 5 ans ; et Inês, 2 ans), roulait en Lamborghini avec son frère vers Santander pour prendre un ferry vers l’Angleterre. Conseillé par son médecin d’éviter l’avion après une récente opération pulmonaire, il optait pour la route. Vers 00h30, lors d’un dépassement, un pneu éclate. La voiture sort de la route, s’embrase violemment, carbonisant les corps au point que l’identification repose sur des documents et des plaques minéralogiques. La Guardia Civil conclut initialement à une perte de contrôle due à une vitesse excessive (estimée à 220 km/h) et un pneu défectueux. Mais les flammes, intenses, avaient masqué des détails cruciaux.

C’est lors du nettoyage des décombres, en octobre dernier, que l’équipe de décontamination a retrouvé le portefeuille de Jota, protégé dans une poche ignifugée. À l’intérieur, une lettre manuscrite signée « C » – « Tu cours trop vite pour eux. Ils te rattraperont. Pardonne-moi, mais c’est pour les enfants » – avait déjà semé le doute. Rute, soutenue par Liverpool FC qui honore encore le contrat de Jota (84 millions d’euros versés en trois tranches), exige une seconde autopsie. Les résultats, divulgués hier soir par El Mundo, sont accablants : sous la ceinture de sécurité, 17 marques de brûlure bilatérales, espacées de 2 cm, en forme parfaite de croissant de lune. Pas des brûlures d’impact – trop régulières, trop intentionnelles. « Comme si un bijou ou un outil chauffé avait été appliqué post-mortem, ou juste avant l’impact », explique le légiste en chef de Zamora, Dr. Miguel Ruiz, dans une interview exclusive à CNN Portugal.

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Rute Cardoso, 32 ans, brisée mais déterminée, a fondu en larmes devant les photos. « Diogo avait une cicatrice sur le dos, en forme de croissant, d’une chute de vélo à 7 ans. Il en riait, appelait ça son ‘tatouage d’enfance’. Ces marques… ce n’est pas une coïncidence. Quelqu’un a voulu nous narguer, nous dire : ‘Je sais tout de lui’. » La veuve, qui élève seule ses enfants dans la maison familiale de Gondomar près de Porto, a engagé un graphologue privé pour la lettre « C ». Les premières analyses pointent vers une écriture féminine, peut-être liée à une ex-compagne ou une connaissance du milieu footballistique. Catarina Furtado, une ancienne flamme de Jota, a nié catégoriquement : « C’est une calomnie. J’aimais Diogo, je ne l’aurais jamais touché. »

L’enquête, initialement classée comme accident, prend un tour criminel. Des traces de freinage absentes, un pneu arrière lacéré (pas crevé naturellement), et un témoin anonyme évoquant une « berline noire collant » la Lamborghini minutes avant. Jota, star de Liverpool (15 buts en 18 marathons toutes compétitions confondues) et de la Seleção (49 sélections, Nations League 2019 et 2025), avait reçu des menaces cryptées sur Instagram depuis son transfert record de Wolverhampton en 2020. Des dettes de jeu ? Une rivalité avec un concurrent qatari pour un sponsoring ? Ou pire : un chantage lié à son investissement foireux dans une crypto-start-up, perdant 5 millions d’euros en 2024 ?

Rute, veuve éplorée, refuse le silence. « Diogo n’était pas suicidaire. Il rentrait pour nous, pour la saison. Cette lettre, ces brûlures… c’est une vengeance. Pour les enfants, je dois savoir. » Soutenue par Mohamed Salah (« Justice pour Diogo, frère éternel ») et Jürgen Klopp (« Si c’est un meurtre, le foot bougera des montagnes »), elle a lancé une cagnotte pour une expertise ADN internationale, dépassant 2 millions d’euros en 24 heures. La fondation Jota, pour jeunes footballeurs défavorisés, recevra les fonds excédentaires.

Mohamed Salah Pays Tribute To Diogo Jota And Brother Andre Silva | Football  News

Anfield pleure encore : le n°20 retiré, un tifo géant « You’ll Never Walk Alone… Even in Heaven ». Le Kop, uni, scande « Rute, on est avec toi ». La Fédération portugaise, « dévastée », a ouvert une enquête parallèle. Cristiano Ronaldo, ému, a posté une photo d’enfance avec Jota : « Petit frère, ton feu ne s’éteint pas. On trouve la vérité. »

Les enquêteurs espagnols, sous pression, perquisitionnent l’hôtel lisboète de la lettre et interrogent des proches. Le « C » reste un fantôme – une Catarina anonyme ? Une coéquipière ? Ou un code pour « Croissant », moqueur ? Rute, micro en main à la conférence, a conclu : « Diogo était un roi des records. Ces marques sont une insulte. On les effacera par la justice. »

Ce soir, à Zamora, la Vologne coule paisible, mais le doute ronge. L’accident de Jota n’était-il qu’un drame ? Ou un crime masqué par les flammes ? Rute Cardoso, lionne en deuil, ne lâchera pas. Pour Diogo, pour les croissants d’enfance qui ne brûleront plus jamais. Le football retient son souffle. La vérité, elle, pédale vers la lumière.

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