Conclusion finale de la police : Immédiatement après le terrible accident en Espagne, la police a annoncé : la voiture de Jota a plongé dans le ravin à cause d’une inconnue.
L’épouse de Jota, Rute Cardoso, tremblante, a ouvert le téléphone de son mari et a découvert les 29 dernières secondes de l’enregistrement : le son d’une violente dispute, les cris de l’inconnue et les derniers mots de Jota qui ont plongé tout le Portugal dans un silence religieux.
Sa femme et ses trois jeunes enfants se sont enlacés et ont pleuré en entendant cet enregistrement…
« JE T’AI DIT DE NE PAS TOUCHER À MES ENFANTS ! » Les 29 dernières secondes de Diogo Jota ont été révélées : le Portugal entier s’est tu

Par Ana Ribeiro, Zamora (Espagne) – 26 novembre 2025
Ce n’était pas un simple accident. Ce n’était pas seulement un pneu éclaté sur l’A-52 à 3 h 17 du matin le 3 juillet 2025.
Ce n’était pas seulement la Lamborghini Urus de Diogo Jota qui a plongé dans le ravin en flammes, emportant le footballeur de 28 ans et son frère André Silva, 25 ans.
C’était un crime.
Hier soir, cinq mois jour pour jour après la tragédie, la Policía Nacional espagnole et la Guarda Civil ont tenu une conférence de presse exceptionnelle à Zamora. Le colonel Antonio Rodríguez a pris la parole, la voix grave :
« Nous avons terminé l’enquête. Le véhicule a été délibérément poussé hors de la route par une femme inconnue qui se trouvait à l’intérieur de la voiture avec les deux victimes. Nous disposons désormais de la preuve audio irréfutable. »
Et ils ont diffusé les 29 secondes.
Le téléphone de Jota, retrouvé carbonisé mais dont la mémoire avait été sauvegardée par miracle par les techniciens de Liverpool, contenait un enregistrement automatique déclenché par l’application d’urgence du véhicule.
On y entend d’abord la musique portugaise à fond – « Cavaleiro Monge » de Mariza. Puis une voix féminine, hystérique, que personne ne reconnaît :
« Tu crois que je vais te laisser les détruire ? Tu crois que je vais te laisser partir avec eux ? »

La voix de Jota, calme mais tremblante de rage :
« Sors de ma voiture. Tout de suite. »
La femme hurle :
« Ils ne sont pas à toi ! Ils ne sont pas à toi ! Tu n’as jamais voulu de moi ! »
Bruit de lutte. On entend André crier : « Diogo, fais attention ! » Un choc violent. Le crissement des pneus. Et puis les derniers mots de Diogo Jota, clairs, nets, glaçants :
« JE T’AI DIT DE NE PAS TOUCHER À MES ENFANTS ! »
Ensuite : le vide. Le hurlement du moteur qui tombe dans le ravin. Le silence.
La conférence de presse s’est terminée dans un silence de cathédrale. Les journalistes n’ont posé aucune question. Ils pleuraient.
À Porto, dans la maison familiale de Gondomar, Rute Cardoso, 28 ans, enceinte de huit mois de leur quatrième enfant au moment des faits, a écouté l’enregistrement entourée de Dinis (4 ans), Duarte (2 ans) et Mafalda (10 mois).
Quand les derniers mots de son mari ont résonné, elle s’est effondrée. Les trois enfants se sont blottis contre elle, répétant « Papa… papa… » Une photo prise par un proche montre la famille enlacée sur le sol du salon, en pleurs, le téléphone posé au milieu comme une relique.
L’inconnue reste un fantôme.
Les enquêteurs ont reconstitué la soirée :
2 h 47 : Jota et André quittent un restaurant à Benavente après un dîner familial. 2 h 59 : la Lamborghini est filmée sur une aire d’autoroute. Une femme brune, casquette noire, monte à l’arrière. 3 h 17 : l’accident.

Aucune empreinte digitale exploitable. Aucun ADN. Mais la voix a été analysée : accent portugais du Nord, 25-30 ans, probablement de la région de Porto ou Braga. Les enquêteurs parlent d’une « obsession amoureuse non réciproque ».
Le Portugal est en état de choc.
Cristiano Ronaldo, en larmes lors d’une story Instagram : « Mon frère… tu as protégé tes enfants jusqu’à la dernière seconde. Repose en paix, guerrier. »
Le FC Porto et Liverpool ont annoncé un match hommage commun le 3 juillet 2026. L’Allianz Stadium de Turin, où Jota a commencé, sera rebaptisé « Estádio Diogo Jota ».
Rute Cardoso a pris la parole hier soir, la voix brisée mais digne :
« Il est mort en défendant ce qu’il avait de plus précieux : nos enfants. Je ne sais pas qui est cette femme. Mais je sais une chose : elle n’a pas gagné. Parce que Diogo est parti en héros.
Et ses enfants sauront toujours que leur père a donné sa vie pour eux. »
Ce matin, des milliers de Portugais se sont rassemblés devant la maison familiale. Ils ont déposé des fleurs, des maillots numéro 20, des peluches. Un petit garçon de 6 ans a accroché une pancarte écrite à la main :
« Merci Jota d’avoir sauvé tes bébés. Tu es notre super-héros pour toujours. »
L’enquête reste ouverte. La femme est activement recherchée dans toute l’Europe. Mais pour le Portugal, l’histoire est déjà écrite :
Diogo Jota n’est pas mort dans un accident. Il est mort en père.
Et ces 29 secondes hanteront le pays pour toujours.