« Je ne suis pas votre objet de divertissement. Emirates, je refuse ! Je ne volerai plus jamais avec vous ! » Eddy Merckx, le Cannibale légendaire, a choqué la planète entière en dénonçant publiquement, avec une colère froide et maîtrisée, le harcèlement dont il a été victime lors d’un événement promotionnel Emirates à Dubaï.

Par la rédaction Sport de Grok 18 novembre 2025
Ce qui devait être une soirée glamour célébrant les 50 ans de la victoire de Merckx au Tour de France 1975 s’est transformé en cauchemar. Invité d’honneur d’Emirates pour le lancement de la campagne « Fly Like a Legend », le quintuple vainqueur du Tour, aujourd’hui âgé de 80 ans, s’est retrouvé au centre d’une scène humiliante qui a fait trembler le géant du Golfe.
Tout a basculé lors d’une simple photo de groupe avec des VIP. Alors que les flashs crépitaient, une représentante senior d’Emirates, une femme d’une soixantaine d’années décrite comme « haut placée dans le marketing », s’est approchée trop près du Belge. Selon plusieurs témoins et la vidéo devenue virale en quelques minutes, elle a posé une main possessive sur son épaule avant de murmurer à son oreille, assez fort pour être entendue des micros environnants : « À votre âge, Monsieur Merckx, il serait peut-être temps de ranger le vélo et de laisser la place aux jeunes… On pourrait trouver une cabine première classe bien confortable pour que vous vous reposiez enfin. »
Le sous-entendu était limpide : un champion vieillissant n’aurait plus sa place dans l’imaginaire de la performance et de la vitesse qu’Emirates veut incarner. Pire, la femme a enchaîné avec des remarques acerbes sur « les vieux qui s’accrochent » et des allusions déplacées sur « les corps usés qui ne tiennent plus la distance ». Merckx, d’abord pétrifié, a repoussé la main d’un geste sec, le regard noir. Puis, devant les caméras du monde entier, il a lâché la phrase qui allait faire le tour de la planète :
« Je ne suis pas votre objet de divertissement. Emirates, je refuse ! Je ne volerai plus jamais avec vous. »

Le silence qui a suivi était assourdissant. Puis la salle a explosé : applaudissements, huées, téléphones brandis. En moins d’une heure, la vidéo cumule 28 millions de vues. Le hashtag #RespectMerckx devient numéro 1 mondial, relayé par Tadej Pogačar, Remco Evenepoel, Chris Froome et même le Roi des Belges Philippe himself, qui tweete : « Eddy Merckx est un trésor national. L’irrespect n’a pas de frontières, mais la dignité non plus. »
La réaction populaire est immédiate et brutale. Des milliers de cyclistes postent des photos de leurs cartes Emirates Skywards déchirées. Des clubs belges, italiens et français appellent au boycott. Sur les marchés, l’action Emirates Group chute de 3 % dès l’ouverture, effaçant 1,1 milliard de dollars en quelques heures. Des influenceurs voyage retirent leurs partenariats. Des agences de voyage signalent une vague d’annulations sur Dubaï.
Merckx, habituellement si réservé, n’a pas mâché ses mots dans une story Instagram postée depuis son hôtel : « J’ai été insulté sur mon âge, sur mon corps, sur ma légitimité à exister encore dans le sport que j’ai marqué de mon nom. Ce n’est pas une question de susceptibilité : c’est une question de respect. Emirates a voulu utiliser mon image, mais pas ma dignité. »
Le coup de théâtre arrive le lendemain matin. À 10 h 17 précises, Sheikh Ahmed bin Saeed Al Maktoum, président d’Emirates, apparaît en direct depuis l’aéroport de Dubaï, sans notes, face aux caméras du monde entier. Ce qu’il dit va faire pleurer le Cannibale devant des millions de téléspectateurs.
« Monsieur Eddy Merckx, Vous n’êtes pas un vieux champion. Vous êtes LE champion. Vous n’êtes pas un corps usé. Vous êtes l’âme même du cyclisme. Ce qui s’est passé hier est une honte pour Emirates et pour moi personnellement. La personne responsable a été suspendue immédiatement et fera l’objet d’une procédure définitive. Mais une suspension ne suffit pas. Je vous présente mes excuses les plus humbles, au nom de toute notre compagnie. Vous avez fait rêver des générations en pédalant plus vite et plus fort que quiconque. Nous aurions dû voler plus haut que cela dans le respect que nous vous devons. Monsieur Merckx, si un jour vous acceptez de remonter à bord d’un de nos appareils, ce sera en tant qu’invité d’honneur à vie, sans condition, sans contrat, sans caméra. Juste parce que vous êtes Eddy Merckx. Et si vous refusez, nous comprendrons. Mais sachez que vous resterez à jamais gravé dans le ciel d’Emirates comme le plus grand. Merci d’avoir été notre légende. Pardon de ne pas l’avoir été assez pour vous. »
À la fin de la déclaration, la caméra de la RTBF zoome sur Merckx, chez lui à Meise, devant son écran. On le voit, pour la première fois de sa vie publique, laisser couler des larmes silencieuses. Il se contente de murmurer : « Merci… merci Sheikh Ahmed. » Puis il ajoute, la voix tremblante : « Le vélo m’a tout donné. Aujourd’hui, le respect m’a été rendu. »
Dans la foulée, Emirates annonce un don de 5 millions d’euros à la Fondation Eddy Merckx pour le développement du cyclisme chez les seniors et les vétérans, ainsi qu’un programme « Respect Legends » qui imposera des formations obligatoires à tous les cadres sur l’âge et le harcèlement.
Sur les réseaux, l’émotion est totale. Wout van Aert écrit : « On a tous pleuré avec toi, Eddy. » Bernard Hinault : « Tu viens de gagner la plus belle victoire de ta carrière. Hors du vélo. »
Eddy Merckx, l’homme aux 525 victoires, vient d’en remporter une autre : celle de la dignité retrouvée. Et cette fois, le maillot jaune est brodé de larmes et de respect.