« JE T’AIME AUTANT QU’AU PREMIER JOUR, MA REINE » À 80 ans, Eddy Merckx, rougissant comme un adolescent, a fondu en larmes devant tout le monde en lisant à haute voix sa déclaration d’amour à Claudine pour leurs noces d’or : 28 mots qui ont fait pleurer toute la Belgique, brisé l’image du « Cannibale de Fer » et prouvé que le plus grand champion de l’histoire avait toujours eu un cœur plus grand que ses 525 victoires ! 😭❤️🚴‍♂️

« Je t’aime autant qu’au premier jour, ma reine » : À 80 ans, Eddy Merckx fond en larmes et fait pleurer toute la Belgique pour ses noces d’or avec Claudine

Tervuren, 16 novembre 2025 – Il a gagné cinq Tours de France, cinq Giros, un record de 525 victoires, le surnom de « Cannibale » et la réputation d’être l’homme le plus dur du peloton. Pourtant, hier soir, dans la grande salle du château de Tervuren, Eddy Merckx, 80 ans, a montré au monde qu’il n’y avait rien de plus fort que son cœur. Devant 400 invités, familles royales belges, anciens rivaux, journalistes et même des supporters venus en maillot arc-en-ciel, le plus grand cycliste de tous les temps a pris le micro, rougi comme un adolescent, et a lu, la voix brisée, une déclaration d’amour à Claudine Acou, son épouse depuis exactement 50 ans.

28 mots. Seulement 28 mots. Mais ils ont suffi à faire fondre en larmes la Belgique entière.

« Claudine, ma reine, je t’aime autant qu’au premier jour. Tu es mon seul maillot jaune, ma seule médaille d’or, mon éternel champion du monde. Merci d’avoir roulé avec moi pendant 50 ans. »

Silence total. Puis sanglots. Pas seulement chez Claudine, 77 ans, sublime en robe bleu roi, qui a porté la main à sa bouche, les yeux brillants. Chez tout le monde. Philippe et Mathilde, le couple royal belge, se sont pris la main. Tom Boonen a essuyé une larme discrète. Même Bernard Hinault, le « Blaireau » français qui avait juré ne jamais pleurer, a baissé la tête.

Eddy, le « Cannibale de Fer », celui qui grimpait l’Alpe d’Huez comme on monte un escalier, celui qui faisait trembler les directeurs sportifs d’un simple regard, s’est effondré. Il a laissé tomber le micro, a ouvert grand les bras et a enlacé Claudine pendant de longues secondes, le visage enfoui dans son cou, comme un gamin de 30 ans lors de leur mariage le 16 novembre 1975 à Meise.

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Ils se sont rencontrés en 1967. Elle avait 19 ans, lui 22. Claudine était la nièce d’un soigneur de l’équipe Peugeot. Eddy, déjà champion du monde amateur, l’a vue au bord de la route lors du Circuit de Wallonie. Il a roulé 200 mètres en danseuse juste pour la faire sourire. « Je suis tombé amoureux avant même de connaître son prénom », confiera-t-il plus tard.

Pendant 20 ans de carrière, Claudine a été partout : dans la voiture suiveuse, dans les hôtels miteux, dans les hôpitaux après les chutes terribles (Verona 1968, Blois 1969, le crash du vélodrome de Blois qui lui a brisé la colonne). Elle a élevé seule leurs deux enfants, Sabrina et Axel, quand Eddy courait 120 jours par an. Elle a supporté les groupies, les rumeurs, les nuits où il rentrait cassé, le corps en sang, et où il lui disait simplement : « Demain, on recommence. » Elle n’a jamais pleuré devant lui. Jusqu’à hier soir.

Avant la déclaration, personne n’imaginait Eddy Merckx capable d’une telle émotion publique. On le connaissait dur, froid, calculateur. On racontait qu’il pouvait faire pleurer un coéquipier en lui disant simplement : « Tu n’es pas à la hauteur. » Hier, c’est lui qui a pleuré. Et la Belgique avec lui.

Le roi Philippe, ému, a pris la parole après : « Eddy, tu nous as appris la victoire. Ce soir, tu nous apprends l’amour. Merci. » Axel Merckx, fils et ancien coureur, a ajouté en riant entre deux sanglots : « Papa m’a toujours dit que le plus dur n’était pas de battre Anquetil ou Gimondi, mais de mériter le sourire de maman tous les jours. »

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50 ans de mariage. 525 victoires. 34 jours en jaune. Mais pour Claudine, il n’y a qu’un chiffre qui compte : 18 262 jours passés ensemble. « Il n’a jamais oublié une date », murmure-t-elle. « Même quand il gagnait Milan-San Remo, il m’appelait à 6 h du matin pour me dire bonne fête. »

Hier, Eddy a offert à Claudine une bague en or jaune incrustée de 50 petits diamants – un pour chaque année. Puis il a sorti de sa poche une photo jaunie : eux deux en 1967, sur un tandem, riant comme des fous. « On a roulé toute la vie sur ce tandem-là », a-t-il dit. « Toi devant, moi derrière, à pédaler pour toi. »

La salle a applaudi debout pendant cinq minutes. Les caméras ont zoomé sur le visage d’Eddy, rouge, trempé de larmes, qui répétait en boucle, presque enfantin : « Je t’aime autant qu’au premier jour, ma reine… »

Le Cannibale de Fer a gagné la plus belle victoire de sa vie. Pas sur un vélo. Sur le cœur.

Et la Belgique, pour une fois, n’a pas applaudi un champion. Elle a applaudi un homme amoureux.

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