Mise à Jour Explosive dans l’Affaire Jota : Une Lettre Mystérieuse Signée « C » Trouvée dans son Portefeuille – La Famille Exige une Seconde Autopsie !
Liverpool, 17 novembre 2025 – Le choc n’en finit pas de secouer le monde du football. Diogo Jota, l’attaquant portugais de Liverpool FC, n’est plus depuis l’accident mortel sur l’A-52 près de Zamora le 3 novembre dernier. Mais ce matin, une découverte macabre relance l’enquête : lors du nettoyage de la voiture carbonisée, l’équipe de décontamination a retrouvé, dans le portefeuille calciné du joueur, une lettre manuscrite pliée en quatre, signée d’un simple « C ». Son contenu, révélé en exclusivité par The Sun et corroboré par des sources proches de la famille, est si glaçant que Rute Cardoso, la veuve de Jota, a immédiatement exigé une seconde autopsie. « Ce n’est pas un accident. C’est un message d’outre-tombe », a-t-elle déclaré, la voix brisée, lors d’une conférence de presse improvisée devant Anfield
La lettre, écrite à l’encre bleue sur du papier à en-tête d’un hôtel lisboète datant de 2022, ne comporte que 42 mots : « Tu cours trop vite pour eux. Ils te rattraperont. Pardonne-moi, mais c’est pour les enfants. C. » Les experts graphologues, mandatés par la police espagnole, confirment l’authenticité : l’écriture tremble, comme sous le coup de l’émotion ou de la peur. Le « C » ? Un initial qui ouvre un abîme de spéculations. Catarina ? Une ancienne liaison ? Un coéquipier ? Ou pire : un complice dans une machination qui dépasse le simple drame routier ?
L’accident semblait clair : Jota et son frère André Silva, 26 ans, rentraient d’un week-end familial à Porto lorsque leur Audi RS Q8 a percuté un camion à 220 km/h. Les deux corps, méconnaissables, ont été identifiés par ADN. Mais le portefeuille, protégé dans une poche intérieure ignifugée, a résisté aux flammes. À l’intérieur : 2 000 € en liquide, une photo de Rute et des enfants, et cette lettre. « L’équipe de nettoyage l’a trouvée hier à 14 h 17 », précise un porte-parole de la Guardia Civil. « Elle était collée au fond, comme cachée. » Les enquêteurs, initialement sur la piste d’une perte de contrôle due à la vitesse, parlent désormais d’« éléments suspects » : traces de freinage absentes, un pneu arrière lacéré, et un témoin anonyme affirmant avoir vu une berline noire « coller » la voiture de Jota minutes avant l’impact.
Rute Cardoso, 32 ans, entourée de ses trois enfants – Martim (8 ans), Dinis (5 ans) et la petite Inês (2 ans) –, a fondu en larmes devant les caméras. « Diogo n’était pas suicidaire. Il adorait la vie, ses enfants, le foot. Cette lettre… c’est une menace. Quelqu’un l’a forcé à l’écrire. » La famille, soutenue par le club de Liverpool qui a déjà versé 28 millions d’euros en honneur du contrat, a déposé une demande officielle auprès du tribunal de Zamora pour une seconde autopsie. Objectif : rechercher des toxines, des sédatifs, ou des marques invisibles à première vue. « Nous voulons la vérité, même si elle détruit tout », a martelé l’avocat familial, João Mendes.
Le « C » intrigue. Chez Liverpool, on murmure le nom de Catarina Furtado, une ex-compagne portugaise de Jota avant son mariage, mais elle nie tout contact depuis 2018. D’autres pistes : un créancier (Jota avait investi dans une start-up crypto en perte), ou un concurrent jaloux. La PJ portugaise, sollicitée, analyse les appels du joueur : un numéro masqué, géolocalisé à Madrid, a contacté Jota 47 minutes avant l’accident.
Anfield, déjà drapé de noir avec le maillot n°20 retiré, vibre d’une nouvelle émotion. Mohamed Salah, capitaine, a tweeté : « Diogo n’est pas parti par accident. Justice pour notre frère. #JotaLetter ». Le Kop a lancé une cagnotte pour la seconde autopsie, dépassant 1,2 million d’euros en 6 heures. Jürgen Klopp, en retraite, a appelé Rute : « Si c’est un meurtre, le foot ne pardonnera pas. »
La police espagnole, sous pression, a renforcé l’enquête : perquisitions à l’hôtel lisboète, analyse ADN sur la lettre (traces de salive féminine ?), et interrogatoire des proches. Le frère André, lui aussi dans la voiture, pourrait-il être une victime collatérale ? Les théories foisonnent : chantage, dette de jeu, ou règlement de comptes dans le milieu du sponsoring ?
Ce soir, Rute veille seule, la lettre encadrée comme une relique maudite. « C » reste un fantôme. Mais la seconde autopsie, programmée pour vendredi, pourrait parler. Diogo Jota, roi des records, ne courra plus. Mais sa famille, elle, court après la vérité. Et cette fois, le monde entier retient son souffle.
