Elon Musk vient de frapper un coup de tonnerre dans le monde du football.

Ce vendredi soir, depuis son compte X, le patron de Tesla, SpaceX et xAI a publié une simple phrase accompagnée d’une photo d’Ousmane Dembélé en maillot parisien : « TU DEVIENDRAS UNE ICÔNE DU FOOTBALL TESLA ».

Derrière ces six mots se cache l’annonce la plus folle jamais vue dans l’histoire du sport moderne : un investissement immédiat d’un milliard de dollars en cash, suivi de cinq cents millions de dollars par an pendant dix ans, soit un engagement total qui dépasse les six milliards de dollars.

Et le bénéficiaire n’est autre que l’ailier français du Paris Saint-Germain, âgé de vingt-huit ans.

L’opération, baptisée en interne « Project Lightning, ne se contente pas de faire de Dembélé le joueur le mieux payé de l’histoire. Elle le transforme en copropriétaire à part entière d’une nouvelle entité : Tesla Football Group.

Musk a expliqué lors d’un Spaces improvisé à 3 heures du matin (heure française) que l’objectif n’est pas seulement de créer un club, mais de « réinventer le football comme on a réinventé la voiture ».

Selon plusieurs sources proches du dossier, Tesla Football Group va d’abord racheter un club historique européen – les noms du FC Barcelone, de l’AC Milan et de l’Olympique de Marseille circulent avec insistance – avant de lancer, dès 2027, une Super League nouvelle génération entièrement financée par l’écosystème Musk : diffusion sur X, billets en crypto, maillots connectés avec capteurs Neuralink, et voitures autonomes qui emmèneront les supporters au stade.

Dembélé, visiblement abasourdi mais euphorique, a réagi en direct : « Je viens du quartier, j’ai galéré, j’ai été blessé mille fois, et là… un milliard cash ? Copropriétaire ? Franchement, j’ai pleuré comme un gosse.

Elon m’a dit : “Ousmane, tu cours à 37 km/h, moi je veux que le football aille à 300 km/h.” Je signe où ? » Le joueur toucherait, selon les documents fuités par The Athletic, 250 millions d’euros nets par saison, plus 5 % des parts de Tesla Football Group dès la première année (évaluées aujourd’hui à 1,4 milliard), et une Tesla Plaid personnalisée chaque année jusqu’à la fin de sa carrière.

Dans les couloirs du PSG, c’est la sidération. Nasser Al-Khelaïfi aurait convoqué une réunion d’urgence à 6 heures du matin. Le club qatari, qui avait prolongé Dembélé jusqu’en 2028 pour 18 millions annuels, se retrouve face à une clause libératoire… inexistante.

Musk a tout simplement proposé de payer dix fois la valeur marchée du joueur (estimée à 60 millions d’euros par Transfermarkt) en cash, dès lundi matin, avec un virement validé par la banque centrale américaine pour éviter tout blocage.

« C’est légal, c’est brutal, c’est du Elon », résume un avocat spécialisé en droit du sport.

Mais l’argent n’est que la partie visible. Le vrai bouleversement est technologique.

Tesla prévoit d’équiper les stades de bornes de recharge ultra-rapides, de drones autonomes pour filmer les matches sous tous les angles, et surtout d’intégrer la technologie Full Self-Driving aux arbitres assistants : des Cybertrucks équipés de caméras 8K et d’IA arbitreront les hors-jeu à la millisecondre près.

Les supporters, eux, pourront vivre les matches en réalité mixte grâce à des lunettes développées par xAI, avec statistiques en temps réel projetées directement sur la rétine.

Du côté de l’UEFA, Aleksander Čeferin a qualifié l’annonce de « déclaration de guerre ». Gianni Infantino, lui, reste étrangement silencieux – certains murmurent qu’un déjeuner secret aurait déjà eu lieu à Doha entre le président de la FIFA et Musk et plusieurs princes du Golfe.

En Espagne, Joan Laporta n’a pas caché son intérêt : « Si Tesla veut investir au Barça, nos portes sont grandes ouvertes. Nous avons une histoire, un stade mythique, et un besoin urgent de liquidités. »

À Paris, les supporters du PSG oscillent entre colère et fascination. Sur les réseaux, le hashtag #DembéléTraître côtoie #DembouzMilliardaire. Dans les quartiers nord de Marseille, on rêve déjà que l’OM devienne le premier club Tesla.

À Évreux, la ville natale d’Ousmane, la maire a annoncé qu’une statue géante du joueur en Cybertruck serait inaugurée dès l’été prochain.

Elon Musk, lui, continue de tweeter à un rythme infernal : « Le football était coincé dans les années 90. On va le propulser en 2050. Vitesse, spectacle, technologie, et zéro émission. Dembélé est le premier, mais il y en aura d’autres.

Qui veut être le prochain ? » Kylian Mbappé a répondu par un simple émoji yeux écarquillés. Erling Haaland a liké. Vinícius Júnior a posté une story avec la musique de Rocky.

Dans les bureaux de Tesla à Austin, des centaines d’ingénieurs qui bossaient sur le Robotaxi ont été redéployés d’urgence sur le projet football.

Objectif affiché : faire gagner la Ligue des Champions à un club Tesla dès 2028, et organiser la première Coupe du Monde des Clubs sur Mars en 2035 – « avec des stades pressurisés et des joueurs en combinaison », dixit Musk.

Ousmane Dembélé, l’enfant d’Évreux devenu l’homme le plus cher de l’histoire du sport, s’apprête à vivre une aventure que personne n’aurait osé imaginer. Demain matin, il prendra un Gulfstream G700 affrété par SpaceX direction Los Angeles, où il signera devant les caméras du monde entier.

Sur la table : un stylo en titane issu d’une fusée Falcon 9 recyclée.

Le football ne sera plus jamais le même. Et dire que tout a commencé par six mots sur X.